angle de vue, angles de vies

A la Maison de Kerdies, Mireille et MIchel passent le relais

Au bout de quatorze ans - de Roch Velen à la Maison de Kerdies, en Saint Samson (Plougasnou) - Mireille et Michel ont passé le relais Vendredi soir à Stéphane et Céline, deux jeunes professionnels de la restauration.

La révolution Internet par Serge Soudoplatoff

Serge Soudoplatoff a fait de sa passion pour internet un métier. Il propose des conférences promenades sur le net qui permettent de découvrir et comprendre ce qui révolutionne en profondeur nos manières de communiquer, gouverner, créer, apprendre, s'informer, vendre et acheter... vivre. Si vous avez un quart d'heure "à gagner" je vous conseille de visionner cette conférence donnée à l'Ecole Normale Supérieur.

C'est aussi l'occasion de découvrir les Ernest conférences diffusées sur une web TV de la prestigieuse école de la rue d'Ulm : Des conférences de 15 minutes transdisciplinaires, des intervenants pétillants, un nouveau type de médiation de la connaissance.

Une chanson nostalgique de Jean Marie Vivier pour clore un bon week end

Un Jour Quand Même / Jean-Marie Vivier sélectionné dans Musique et Variété / Chanson

Né dans un pressing... suites en images

Voici deux photos à 30 ans d'intervalle, retrouvée au hasard des albums familiaux

Mon père, trés jeune  tel qu'il m'apparaissait(j'avais 3 ou 4 ans), impressionnant et bon vivant, dans l'atelier de la teinturerie de mon grand père (place Saint Jean au Mans).

Ma mère (et mon père caché) au comptoir de leur pressing (rue du port à Lorient), peu d'années avant leur retraite.

 

Voir les autres posts de la série "né dans un pressing"

"Faisons un rêves" autour des fresques de Laurent Jasmin, suite...

C'était ce soir, à l'occasion de l'inauguration du nouveau salon de notre ami Florent, adhérent à Vivier d'Art.

 

Salon Y bis, Boulevard Maréchal Joffre à Rennes

et Atelier B

ÉLODIE TIREL à la librairie Le Grenier, à Dinan, Samedi prochain

Fanch nous informe que la Librairie le Grenier reçoit Samedi prochain Elodie Tirel pour la présentation des trois premiers tomes de Luna

Née en Normandie, Elodie Tirel est professeure d'espagnol à St-Malo où elle vit avec son mari et ses deux filles.

Fan de Tolkien et passionnée de littérature jeunesse, elle se lance en novembre 2004 dans l'écriture d'un roman de fantasy. C'est ainsi qu'en mai 2007, son roman " Les héritiers du Stiryx " est publié aux Éditions Milan. Ce premier tome d'une trilogie remportera le Prix Merlin 2008.

Depuis, Elodie Tirel s'est découvert une véritable passion pour l'écriture : son esprit fourmille d'histoires fantastiques et son ordinateur portable ne la quitte plus.

Septembre 2009 marque le début d'une grande aventure avec la publication des trois premiers tomes de la série " Luna ".

LUNA - LA CITÉ MAUDITE Tome 1

Luna est une jeune elfe argentée qui a grandi au sein d’une meute de loups. Lorsque des guerrières drows déciment sa famille adoptive, elle se réfugie chez son mentor, le Marécageux, qui lui révèle les circonstances de sa naissance. Dans le but de retrouver sa mère, Luna entame un long périple qui la mènera à Rhasgarrok, la cité souterraine des elfes noirs.

La jeune fille éprouve une grande répulsion en découvrant le marché aux esclaves, les ruelles sordides et les créatures maléfiques qui peuplent la cité drow. C’est pourtant au plus profond de Rhasgarrok qu’elle retrouvera sa véritable famille. C’est aussi au cours de ce voyage qu’elle fera la rencontre de Darkhan, un elfe noir en mission.

Tout oppose Luna à ce farouche guerrier; pourtant, leurs destins vont bientôt s’entremêler. Pour le meilleur et pour le pire…

 

LUNA - LA VENGEANCE DES ELFES NOIRS  Tome 2

Luna va enfin rentrer chez elle, mais le chemin qui mène à la cité de ses ancêtres est encore long et parsemé d’embûches. Une fois à Laltharils, elle fait la connaissance du frère cadet de Darkhan, Halfar. Ce dernier est aussitôt séduit par le caractère rebelle de Luna.

Une nuit, les deux adolescents sont témoins du sacrifice d’un elfe noir et comprennent que ce rituel visait à empoisonner la rivière… et toute la forêt de Ravenstein. Accompagnée de Kendhal, un elfe doré, Luna se met en quête des ingrédients nécessaires à la fabrication d’un antidote.

Dans l’ombre de la cité souterraine de Rhasgarrok, Matrone Zesstra est dévorée par la rage et la haine. Pour mener à bien ses sombres desseins, la matriarche fait appel à la déesse Araignée. Cette fois, nul n’échappera à sa vengeance…

 

LUNA - LE COMBAT DES DIEUX Tome 3

Luna et sa sœur Sylnor sont envoyées par Matrone Zesstra dans l’antre de la déesse Araignée. Mais la cadette, loin d’être une alliée pour Luna, se révèle être une drow endurcie, prête à trahir et même à tuer pour assouvir sa soif de violence. Malgré tout, quand Sylnor se retrouve à la merci de la cruelle déesse, Luna n’hésite pas à lui venir en aide en acceptant le marché que lui propose son bourreau.

Luna se rend donc au palais de glace où Abzagal, le redoutable dieu Dragon, lui confie à son tour une mission et lui offre, en plus, un pouvoir extraordinaire pour la mener à bien…

Laquelle de ces divinités manipulatrices Luna doit-elle croire? Tous ces dieux valent-ils mieux que les simples mortels?

Consultez le site Web de la série : lunaelfedelune.com

 

La librairie Le Grenier a reçu le Label Lir

Pressings du monde : vu à Goa

Dans ma série "pressings du monde" (cf. j'ai grandi dans un pressing) en voici un découvert à Goa.

 

Autres pressings du monde à Hong Kong  et Australie

Je lance un nouveau blog collaboratif pour temps de crise

Depuis quinze jours on nous le serine sous tous les tons, ça y est "c'est la crise", la vraie, l'historique, celle que tout le monde voyait venir mais à laquelle personne ne croyait et on en a, parait-il pour des années... C'est le grand krach qui vient s'ajouter à la crise écologique, la crise des valeurs, la crise de la gauche, la crise des médias, la crise des retraites, la crise de l'enseignement... La crise, la crise, la crise... Au secours, j'ai peur !

Mais, étonnement, tout le monde parait rester calme. Pas un banquier à se jeter par la fenêtre, pas un petit épargnant à faire la queue devant sa banque, pas une manif exutoire rien... Est-on chloroformés, anéantis, prostrés sous l'effet de la peur ? A moins que dans notre monde réel nous ne parvenions plus à percevoir et surtout à croire ce qui arrive du côté de l'économie virtuelle ?

Voila pourquoi j'ouvre ce nouveau blog "C'est la crise...Respire". Il sera :

- un espace de parole, d'échange pour mieux comprendre ensemble ce qui nous arrive, au jour le jour, dans notre monde réel.

- un lien pour ne pas rester seuls avec nos craintes, nos peurs non dites, nos questions sans réponses, les difficultés présenties, les soutiens attendus. Un moyens aussi de résistance au lavage de cerveau, pour débusquer et résister aux manipulateurs, pour ne pas avaler toutes les pillules.

- Enfin un support pour partager les bonnes idées, les bonnes pratiques, les solutions, faire place à l'imagination et à l'expérimentation, construire des solidarités.

L'expérience de mon premier blog "angle de vue, angles de vie" m'apprend qu'il n'est pas si facile de créer une l'inter-activité entre lecteurs, entre lecteurs et auteurs. Le passage à l'écris, le risque de l'affichage, le temps nécessaire, la familiarisation à la technique du blogging (aussi simple soit-elle) sont autant de freins à déserrer.

La première règle que je retiens c'est certainement de poser des questions plutôt que de présenter son propre point de vue. C'est pourquoi je lancerai des thématiques de débat, des appels à témoignages auxquelles chacun pourra réagir par le biais des commentaires. A partir de ces commentaires je pourrai repérer et solliciter des contributeurs pour devenir auteurs plus réguliers. C'est aussi par ce biais que pourront émerger des sujet de "reportages".

La seconde règle est d'encourager les auteurs potentiels en leur proposant un soutien rédactionnel et en les déchargeant, s'il le souhaitent, des tâches d'édition. Ainsi les auteurs pourrons adresser leurs contriburions par simple mail, en se contentant, s'ils le souhaitent, d'écris télégraphiques ou schématiques. J'assurerai la ré-écriture.

Le troisième règle, enfin est d'échanger ses lectures : les "fiches de lectures" sont un bon moyen d'ouvrir les angles de vue et de mobiliser des contributions d'auteurs.

Sur cette base j'imagine que "C'est la crise...respire" reposera sur cinq piliers éditoriaux :

- l'appel à témoignage et réflexion sur des thèmes et leur publication sous forme de commentaires.
- des micro-sondages.
- les rubriques d'auteurs sous forme de "journal de crise".
- des reportages écrits, audio ou vidéo.
- des fiches de lectures.

Je lance le projet d'abord auprès de la petite communauté de lecteurs fidèles d'Angle de vue, angles de vies. Ils sont une centaine et constituent un intéressant panel d'âge, sexe,profession, situation sociale, opinions (sans prétendre à une quelconque représentativité...). C'est là qu'émergeront sans doutes les premiers auteurs réguliers. C'est à partir d'eux que se constituera la chaîne de diffusion du projet.

Quand tout risque de se précipiter, quand la peur monte, quand l'incertitude règne, quand le stress peut vous submerger, un bon remède : respirer, prendre son souffle, ouvrir la fenêtre, voir plus loin, en parler, en rire, imaginer... Alors vite, "C'est la crise...Respire !"

INVITATION pour les 30 ans de la librairie Le Grenier à Dinan

Bruno Heitz, auteur et illustrateur de livres de jeunesse, sera présent demain Jeudi 22 Mai pour clébrer les 30 ans de la librairie le Grenier.

C'est un soutien et un ami de longue date de la librairie créé par Fanch et Soazig MERDRIGNAC

Il sera
– le matin à l'IME rue beaumanoir Dinan
– l'après midi à l'école publique de St Hélen

et pour une dédicace à la librairie de 17 h à 19 h

La mémoire vive d'une vieille dame trés digne du mouvement associatif

Ce week end se tenait à Rennes l'assemblée générale de l'ADMR. L'Association pour l'Aide à Domicile en milieu Rural fêtait ses 60 ans. Une belle et jeune "vieille dame" emblématique du mouvement associatif qui a structuré le développement économique et social rural, en Bretagne, en transcendant les clivages politiques et sociaux.

Ce fut l'occasion pour les 400 participants de réfléchir et débattre à la relation bénévoles / professionnels au service d'un projet social et sociétal majeur. J'ai eu l'occasion de contribuer (à titre bénévole) à cet évènement en réalisant une courte vidéo d'introduction. Cinq anciens administrateurs bénévoles et salariés de l'ADMR activent leur "mémoire vive". Cinq "angles de vie" lumineux.

Le nouveau fournil d'Hubert ouvre au couvent de Camlez

Hubert nous informe de l'ouverture du fournil de Camlez. Les dernières nouvelles remontaient au 21 Avril. Bravo aux initiateurs de ce beau projet et surtout  "gardez le feu sacré".

le four de Camlez en voie d'achèvement

      

L'édification du four de Camlez touche à sa fin. Il reste à évacuer le sable qui a servi de moule à la voute et attendre un bon mois pour le séchage.

Les précédents chapitres :
1 - 2 - 3

   

Le Couvent de Camlez, re-suite...

Les travaux battent leur plein au couvent de Camlez et Hubert nous présente l'équipe des initiateurs en pleine action.

Voir les précédents épisodes : le feu sacré photos - édification du four ;  présentation du projet Téléchargez le dernier article du Télégramme de Brest consacré à l'édification du four en activant ce lien : Téléchargement ArticleCamlez.pdf

Le four de Camlez

    Hubert, l'homme du fournil, nous donne des nouvelles en images de l'édification du four à bois du couvent de Camlez.. Un formidable projet de commerce équitable dont nous suivons l'évolution au cours des mois

   

Le "feu sacré" au couvent de Camlez

Je vous ai parlé le 6 Décembre dernier du projet du Couvent de Camlez où seront réunis crépier, boulanger,brasseur et charcutier partageant le même engagement pour le commerce équitable valorisant les produits de petits producteurs locaux.

Mon ami Hubert Bonnier (cf le fournil d'hubert) m'informe qu'aujourd'hui 5 Mars commence la construction du four à l'ancienne où il confectionnera un pain de farines anciennes et aux levains naturels.

Pour mieux comprendre ce projet, une première en France, téléchargez l'article que lui consacre la revue Village Magazine du mois de Mars.
Téléchargement camlez_pu3.pdf

Jeanne, de la "Spiruline équitable" au "Bateau pédagogique contre tous les esclavages"

Mon vieil ami Gildas, toujours à l'écoute de ceux qui ont des angles de vies ouverts et adjacents, m'invite à rencontrer Jeanne CHARLOT, Jeune femme de 24 ans qui a participé au lancement la culture de la Spiruline dans un village du Mali. Elle découvre les propriétés alimentaires de la spiruline au cours de son apprentissage préparatoire au BTS "production aquacole". Cette micro algue, riche en protéines, facilement cultivable en eau douce, est trés utile pour pour lutter contre la malnutrition. -> apprenez toutes les propriétés de la spiruline en vous connectant sur le site créé il y a deux ans par Jeanne et Loren pour présenter leur projet "Spiruline équitable" Le projet a été mené à bien. La culture de spiruline est mise en œuvre par des villageois de Sansanding au Mali. Jeanne et Loren ont installé la culture de l'algue, sensibilisé les femmes du village à ses propriétés nutritives et formé Mamadou et Fatim qui depuis Avril 2006 produisent et commercialisent la spiruline séchée. Je rencontrerai prochainement Jeanne CHARLOT pour l'interviewer sur son prochain projet. Au sein de l'Association Nantaise METISSE elle contribue à la reconstitution d'un bateau négrier qui sera ensuite aménagé en musée pour parler, dans les ports de tous les continents, de l'esclavage d'hier et aujourd'hui. Lien Wikipédia pour "Spiruline"

Pressing des antipodes

né dans un pressing...suite vue de Hong Kong

Pour ma collection "pressing du monde"
Voir " grandir dans un pressing"

Hubert entre au couvent, "ainsi soit-il !"

Parmi mes premières bonnes adresses vous avez certainement suivi le lien vers le fournil d'Hubert, à Lannion. Hubert BONNIER est un personnage rare : curieux, passionné, créatif, pétillant d'humour et d'intelligence, l'antibof par excellence. Jamais en rade d'initiatives créatrices, il informe ses amis et nombreux correspondants de son dernier projet, partagé par une joyeuse et inventive bande d'artisans alternatifs.

A Camlez, petite commune de 700 habitants, prés de Lannion (Côtes d'armor - Bretagne), ils sont cinq, commerçants/artisans, à créer dans un ancien couvent un complexe de commerce équitable (pour valoriser les produits des producteurs locaux) et de proximité : une crèperie, une brasserie, une charcuterie, une boulangerie, un bar associatif...

Lisez ce qu'en dit Ouest France en téléchargeant l'articles consacré à ce projet : Téléchargement Camlez4.jpg

Nous reparlerons d'Hubert à qui je consacrerai un jour, s'il veut bien se livrer à l'exercice, un des "portraits angle DV" dont j'ai le projet ( à l'instar de celui de Martine passionnée d'Abeilles)

 

Grandir dans un pressing

Cette jolie boutique rétro découverte cet après-midi, rue de l'Apport à Dinan me rappelle que j'ai grandi dans un pressing, plus  exactement dans une teinturerie, c'est ainsi qu'on les appelait dans les années 50.

Dès que j'ai su marcher (dans l'atelier de mes grands parents) et durant toute mon adolescence, (dans l'atelier/magasin de mes parents) j'ai vécu dans cet univers mi-atelier, mi-commerce, aux odeurs lourdes et enivrantes de vapeur et de benzine (ou de perchloritylène...) ;  jouant souvent,  traînant par là, parfois donnant le coup de main ou travaillant en job de vacances.

J'éprouvais du plaisir au milieu de l'imposante et sifflante chaudière, de la moderne "machine à sec", des presses, des coqs, des mannequins à vapeur, des tables aspirantes, dans les labyrinthes de penderies, derrière ou sous le comptoir de la boutique. J'aimais la fréquentation des employées et elles me le rendaient bien. J'étais pas peu fier d'être le petits fils ou le fils de la maison...

Il m'est arrivé parfois, furtivement, sans en parler, d'envisager de reprendre l'activité, en modernisant le concept bien sûr ! De faire un pressing de luxe avec services associés : déplorant que mes parents (aprés mes grands parents) tirassent le diable par la queue,  j'imaginais qu'il valait mieux pour faire fortune, nettoyer les fringues de riches que celles du tout venant. Hélas ni mon père ni ma mère n'avaient le sens du luxe. D'ailleurs c'était une idée stupide : pour gagner de l'argent dans ce métier il vaut mieux faire de la masse.

Je ne serai donc jamais entrepreneur de pressing, mais j'éprouve une vrais tendresse pour ces rares professionnels à l'activité ingrate et mystérieuse qui font encore le métier en artisan.

Il me semble avoir tiré tiré de cette longue fréquentation de l'univers du pressing deux précieux enseignements qui finalement ont impacté ma vie professionnelle et sociale

J'ai observé avec une grande curiosité et appris très concrètement comment un métier, une profession peut vivre en moins de 40 ans trois transformations profondes qui ont bouleversé la vie des hommes et des entreprises concernés. Pour moi l'histoire part de l'antique atelier artisanal de teinturerie, dégraissage, repassage de mes grands parents - là où mon père et ma mère ont fait leur apprentissage  - et aboutit aux actuels pressing de super marchés en franchise, très automatisés, en passant dans les années 60, par l'ère des grands ateliers industriels qui pouvaient employer plus de 100 ouvriers et dont les camions déservaient des centaines de magasins dépots, à trois cents kilomètres à la ronde. Mon père s'était reclassé comme contremaître dans une de ces usines, avant de reprendre avec ma mère, une gérance de pressing de ville. A chacune de ces époques la profession est marquée par une restructuration technologique, économique et sociale profonde. Pour mes parents et toute leur famille cela provoque des ruptures soudaines, des déracinements réels, mais toujours positivés et pour tout dire utiles.

J'ai aussi observé, ressenti, apprécié un univers de travail où les femmes (grand mère, mère, tantes, employées jeunes ou d'âge mûr, clientes) étaient nombreuses et régnaient en maître, imprimant leur manière d'être, imprégnant les codes relationnels. L'homme pouvait être patron en titre, technicien reconnu et fortement sollicité, mais jamais dominant. Je puise dans ce terreau certainement plus qu'un savoir être, une seconde nature.

Dernière minute :
(Je viens de trouver sur le web un intéressant témoignage d'un autre petit fils et fils de teinturier où l'on voit des photos de la "benzinerie" , de la teinturerie, de l'atelier de repassage qui ressemblent de manière troublante à l'atelier de mes grands parents).

La récolte du miel

                 

Martine est apicultrice amateur en Bretagne. Vous assistez en direct à la récolte du miel une belle journée d'Aout 2006 Partagez sa passion.